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Oratorium Dance Project

Oratorium Dance Project

Musique: Tomasz Krzyżanowski, Maciej Maciaszek
Direction artistique et mise en scène: Tomasz Rodowicz
Chorégraphie et direction: Robert M. Hayden
Assistant chorégraphe: Aleksandra Ścibor
Orchestre symphonique et chorale menés par: Grzegorz Wierus
Chef du Chœur philarmonique de Lodz: Dawid Ber
Préparation de la chorale des jeunes Chorea: Tomasz Krzyżanowski, Maciej Maciaszek, Jakub Pałys
Chorégraphie de la chorale des jeunes Chorea: Lara Ward
Quatuor de jazz: Hubert Zemler (batterie), Mariusz Obijalski (piano), Wojtek Traczyk (basse), Marcin Gańko (saxophone)
Conception sonore: Krzysztof Sztekmiler
Direction de la lumière: Tomasz Krukowski
Costumes: Izabela Ofelia Śliwa
Visualisation: Paweł Korbus
Professeurs de danse: Julia Jakubowska, Aneta Jankowska, Joanna Jaworska, Maja Justyna, Małgorzata Lipczyńska, Urszula Parol, Magda Paszkiewicz, Justyna Sobieraj, Aleksandra Ścibor, Katarzyna Wolińska, Janusz Adam Biedrzycki, Paweł Grala, Wojciech Łaba, Jacek Owczarek, Krzysztof Skolimowski
Professeurs de chant: Joanna Chmielecka, Dominika Jarosz, Dorota Porowska, Elina Toneva, Tomasz Krzyżanowski, Maciej Maciaszek, Jakub Pałys

 

Trailer

 

 

 

 

"L’oratorium Dance Project" est une initiative de Chorea qui vise à rassembler des habitants de tous âges et tous horizons autour d’un projet international d’éducation artistique. Trois idées définissent le projet :

  • Dimension multigénérationnelle : trois groupes d’âge ont été formés : les 8-12, les 13-35, et les 50+ ;
  • Professionnels et amateurs ont travaillé ensemble, en s’adaptant les uns aux autres ;
  • Des personnes issues de milieux défavorisés (principalement des jeunes de familles pauvres ou malades, orphelinat, centres d’éducation) ont eu une opportunité de découvrir le monde artistique. L’idée n’étant pas tellement de les faire participer parce qu’ils étaient défavorisés, mais bien parce qu’ils avaient du talent.

« L’oratorium Dance Project » a commencé avec une série d’ateliers organisés par le théâtre CHOREA dans les écoles, les centres éducatifs, les centres de délégués et les centres d’aide sociale, réunissant ainsi plus de 500 jeunes participants. De ce groupe, 120 personnes ont été sélectionnées. 100 personnes ont persévéré et participé au projet jusqu’à la fin. L’idée de réunir des professionnels de haute qualité dans le domaine de la danse et de la musique avec des amateurs talentueux et de combler l’écart a rencontré un franc succès.

Contrairement à d’autres projets socio-artistiques du même genre, la musique de « l’oratorium dance project » a été composée spécialement pour ce projet par Tomasz Krzyzanowski et Maciej Maciaszek, musiciens à CHOREA. La chorégraphie a également été créée de toutes pièces par les participants et les dirigeants du groupe, l’éminent chorégraphe et danseur américain Robert M Heyden en collaboration avec le groupe tacerzyz earthfall du Pays de Galles. Le spectacle a été réalisé par Tomasz Rodowicz, le directeur du théâtre CHOREA.

L’équipe finale de l’oratorium dance project était composée de :

  • The Łódź Philharmonic Orchestra (50 personnes) ;
  • The Philharmonic Orchestra Choir (50 personnes) ;
  • Jazz band (5 personnes) ;
  • Youth Choir – the Great Choir of Young CHOREA (50 personnes) ;
  • Young Łódź dancers (50 personnes)

C’est un défi que nous lançons à notre ville terne.
Cette question de notre identité, notre colère (notre rage) et notre amour.

Tomasz Rodowicz

Nous n’essayons pas de créer une reconstitution, une enclave ou de reproduire un contexte esthétique qui permettrait le maximum de fidélité vis-à-vis des traditions lointaines et contemporaines. Mais nous allons à la source, la cause, le bout. Et nous essayons de toucher, de répercuter sur les murs de l’usine à partir d’un morceau de tôle, l’effritement des briques et le plancher en béton, de faire résonner en nous-même quelque chose à voir et à entendre.

Cette quête d’une place et la façon dont nous gérons le lien entre le très lointain et le contemporain. L’endroit où nous nous situons par rapport aux autres, et la façon dont nous nous demandons qui étaient ces génies, bannis, brûlés avec nous sur le bûcher ou tombés en folie. Voir Euripide et Aristote nous poser les mêmes questions.

Dès qu’il s’agit du théâtre, pour ne pas chercher l’identité à travers la paroi de l’écran, l’évaluation zéro-un, mais pour entendre directement, « réellement », une autre communication humaine, dans laquelle la même question sera posée de différentes manières : qui sommes-nous ? Comment fonctionnons-nous ? Pour quoi ? Pour qui ? Pourquoi sommes-nous la seule espèce à s’élever d’elle-même souhaitant du fond du cœur le plus d’amour et de présence de Dieu ?